Santé

Le Stress

Que peut provoquer le stress ? Découvrez les 7 maladies liées au stress.

Le stress, une maladie ? Pas vraiment. Mais s’il perdure et s’intensifie, il peut provoquer sur notre santé physique et psychique des dégâts difficiles à enrayer. Car même si le stress est à priori physiologique, sa chronicité peut être délétère sur notre organisme. De manière générale le stress entraîne tout d’abord des troubles fonctionnels (liés à la stimulation du fonctionnement des organes) puis des troubles organiques. Par exemple le stress favorise l’hypertension artérielle (trouble fonctionnel) puis dans un second temps augmente le risque de pathologie cardiaque. Envie de mieux gérer votre stress ?
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Quelles sont ces pathologies liées au stress ? Si le stress est notre allié pour réagir, s’adapter, combattre ou fuir, il peut représenter un réel danger pour notre organisme s’il devient récurrent. Car le système nerveux, hormonal et immunitaire se mobilise et les symptômes, au départ purement fonctionnels, peuvent entraîner à bas bruit une série de pathologies purement organiques. Nous ne réagissons pas tous de la même façon face au stress. Si le deuil d’un de vos proches vous anéantit, d’autres le vivront peut-être différemment et si votre meilleur ami vient de perdre son travail, les conséquences sur sa santé mentale et physique ne seront peut-être pas aussi violentes que pour vous. Environnement social ou professionnel, climat conjugal, antécédents  familiaux, traumatismes, sont autant de facteurs qui vont jouer sur vos émotions et faire le lit à votre insu de pathologies graves et/ou chroniques. Les maladies digestives provoquées par le stress Qui n’a jamais eu de troubles digestifs la veille d’un entretien d’embauche ou avant de faire une allocution en public ? Le stress engendre bien des désagréments sur nos intestins… On peut évoquer des ballonnements, des nausées, des brûlures d’estomac, des diarrhées ou des constipations. Pourquoi ? L’estomac se vidange moins vite, le transit est ralenti et les bactéries dans le tube digestif déclenchent une inflammation pour se défendre. Quand certains vont passer cet épisode « banal » sans sourciller, d’autres, submergés par leurs émotions et souffrant de stress depuis trop longtemps peuvent provoquer des maladies beaucoup plus sérieuses comme des colopathies, des syndromes du côlon irritable ou encore des ulcères. Les troubles cardiovasculaires liés au stress Mains moites, cœur qui s’emballe, pression artérielle qui grimpe, douleurs dans la poitrine sont quelques-uns des symptômes les plus représentatifs d’un stress ponctuel. Mais quand le stress perdure, il devient l’un des facteurs de risque les plus délétères sur votre cœur et vos artères au même titre que le tabac ou le diabète. Ses effets sur le système cardiovasculaire sont liés entre autres à la stimulation du système sympathique qui contrôle une grande partie de nos activités inconscientes comme les battements du cœur. Mais il agit aussi sur certains neurotransmetteurs comme l’adrénaline, notre « booster » d’énergie. Sous l’effet du stress, ces manifestations biologiques et physiologiques se modifient et peuvent être responsables d’hypertension artérielle,  de crises d’angor (manque d’oxygène dans les artères du cœur), d’accidents vasculaires cérébraux ou d’infarctus du myocarde.Le stress chronique favorise l’hyperthyroïdieLa thyroïde est une hormone indispensable à notre organisme. Son rôle a de multiples facettes : on peut citer entre autres, la régulation de la température corporelle, du rythme cardiaque, du système nerveux, du tube digestif et de l’appareil génital. Mais il arrive que cette glande se dérègle sous l’effet d’un stress chronique. On parle alors d’hypothyroïdie (quand la glande thyroïde est au ralenti).


LE SYSTÈME URO-GÉNITAL

L’appareil urinaire purifie le sang, excrète des déchets et contrôle le niveau d`hydratation
du corps (qui est composé de 75 % d’eau).
La production de l’urine est en moyenne de 1,5 litre par jour (cette quantité dépend du
volume des boissons).
Le système génital assure la reproduction. Il détermine les différences physiques, le sexe
et assure la fécondation de l’ovule par le sperme.

Constitution et fonctionnement

La purification du sang est assurée par les reins. On peut les considérer comme la station
d’épuration du corps. Simultanément, les reins règlent l’acidité et les minéraux salins du
sang, ainsi que la concentration d’autres substances chimiques importantes. Les reins sont
situés du côté dorsal de la cavité abdominale, à côté de la colonne vertébrale.
Au niveau des reins, le liquide qui a été filtré du sang (= la production d’urine ou diurèse)
est excrété par les uretères vers la vessie. L’urine est expulsée de ce réservoir par l’urètre.
La partie distale du système urinaire est très proche du système génital : chez l’homme
le système urinaire terminal traverse le pénis ; chez la femme le système urinaire aboutit
entre les lèvres de la vulve.


Le développement des os

            Il y a plusieurs sortes de cellules osseuses. Les cellules ostéogènes sont des cellules souches à l’origine de toutes les cellules osseuses. La formation de l’os est réalisés essentiellement par les
ostéoblastes ; ils synthétisent des fibres de collagène et la matrice osseuse, et assurent la
minéralisation pendant l’ossification. Les ostéoblastes sont ensuite piégés dans leur propre
matrice et se différencient en ostéocytes qui construisent le tissu osseux. Les ostéoclastes, qui
contiennent des lysosomes et des vacuoles de phagocytose, détruisent le tissu osseux.
L’ossification (formation des os) commence à la quatrième semaine du développement fœtal.
             Les os sont formés soit par ossification endochondrale qui débute par un stade cartilagineux,
soit par une ossification intramembraneuse (dermique) qui aboutit directement à la formation
de l’os. L’ossification endochondrale d’un os long débute au niveau d’un point d’ossification
primaire, dans le corps d’une ébauche cartilagineuse, par une hypertrophie des chondrocytes
(cellules cartilagineuses) et une calcification de la matrice cartilagineuse. Cette ébauche
cartilagineuse est ensuite vascularisée, les cellules ostéogéniques forment une gaine osseuse autour de l’ébauche, et les ostéoblastes sécrètent la matrice ostéoïde autour des travées cartilagineuses. Avant la naissance, l’ossification se déroule dans les points primaires et
pendant les cinq premières années, elle a lieu dans les centres secondaires. La plupart des os du squelette se forment par ossification endochondrale.
Les os faciaux, la plupart des os du crane, et les os des clavicules, se forment par ossification intra membraneuse. Au cours du développement fœtal et pendant l’enfance, les os de la voute du crane, membranaires sont séparés par des sutures fibreuses. Par ailleurs, il existe six régions membranaires larges, les fontanelles, qui permettent les déformations du crane à la naissance et la croissance rapide de l’encéphale pendant l’enfance. L’ossification des fontanelles est achevée entre 20 et 24 mois.


Le corps humain


La structure du cœur.

Le cœur est un organe musculaire creux constitué de quatre cavités, spécialisé dans la
propulsion du sang à travers les vaisseaux du corps. Il est situé dans le médiastin ou il est
entouré d’une membrane fibreuse résistante appelée le péricarde. Le feuillet pariétal du
péricarde est un sac lâche constitué d’une couche externe fibreuse qui protège le cœur et
d’une couche interne séreuse qui secrète le liquide péricardique. Le feuillet viscéral (épicarde) est
une membrane séreuse qui forme la couche externe de la paroi du cœur. L’espace entre le
feuillet pariétal et le feuillet viscéral est la cavité péricardique. Le liquide péricardique que l’on trouve dans cette cavité facilite les mouvements de contraction du cœur dans son
enveloppe.
La paroi du cœur est composée de trois couches, de l’extérieur vers l’intérieur :
• L’épicarde : Membrane séreuse formée de couches de tissu conjonctif, recouvertes
d’un épithélium. Couche externe lubrifiante.
• Le myocarde : Tissu musculaire cardiaque et tissus conjonctifs. Couche contractile, la
plus épaisse.
• L’endocarde : Membrane épithéliale et tissus conjonctifs. Revêtement interne
protecteur renforcé.
La structure interne.
Le cœur est une pompe double à quatre cavités (figure 15.1). La partie supérieure est formée
par les atria (oreillettes) droit et gauche qui se contractent en même temps et la partie
inférieure par les ventricules droit et gauche qui se contractent également en même temps. Les
atria sont séparées par une cloison fine et musculaire, le sternum interatrial, alors que les
ventricules sont séparés par une cloison épaisse et musculaire, le septum interventriculaire.
Les valves atrio ventriculaires (AV) sont situées entre les atria et les ventricules. Les valves
sigmoïdes sont situées à la base des deux gros vaisseaux qui quittent le cœur (le tronc
pulmonaire et l’aorte).
Les valves atrio ventriculaires sont maintenues en position par des cordons tendineux
résistants, les cordages tendineux qui sont fixés à la paroi ventriculaire par des muscles de
forme conique, les muscles papillaires. Les valves du cœur empêchent le reflux à contre
courant du sang lorsque le cœur se contracte.


Publié par Landry Timothee

Mon objectif est pour vous amener à Comprendre le vrai sans de la vie. MERCI.

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